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Soror Volume 1
Soror Volume 1
15,00€
Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Mais Soror, au-delà d’être une revue d’inspiration, est un projet à la forte dimension responsable. Lors de votre achat, vous pouvez sélectionner si vous le souhaitez « l’achat solidaire ». Pour cinq euros supplémentaires, vous offrirez ainsi un exemplaire à la Maison des Femmes de Saint-Denis qui oeuvre pour les femmes vulnérables, victimes de violence. C’est notre équipe qui se chargera de l’envoi en votre nom.
Pagination : 96 pages
Impression : locale en série limitée par l’imprimeur ChiratSommaire de Soror Volume 1 :
Lina Pieretti, vigneron
En Corse et plus précisément dans le Cap, Lina est la gérante de l’exploitation viticole Pieretti. En reprenant cette entreprise familiale depuis plusieurs siècles alors qu’elle ne s’y prédestinait pas, elle est devenue officiellement la première femme vigneron de l’île. A l’aube de ses soixante ans, elle se confie sur le fait d’évoluer dans un milieu professionnel que l’on ne choisit pas mais nous interroge aussi sur le déterminisme familial et l’importance de la transmission.Florence Porcel, vulgarisatrice scientifique
YouTubeuse à succès, auteur, animatrice et comédienne… Florence cumule les casquettes sans perdre de vue ses passions et sans dévier de sa trajectoire. Elle se revendique féministe après avoir pris conscience de sa difficulté à assumer sa passion pour les sciences. Souffrant encore de discrimination malgré sa reconnaissance, elle raconte avec beaucoup de franchise les difficultés rencontrées durant son enfance, sa quête du métier parfait mais aussi son envie d’ailleurs.Aline Sam-Giao, directrice générale de l’Orchestre national de Lyon et de l’Auditorium
Alors que les femmes sont largement minoritaires à ce type de fonction, cette maman de famille nombreuse a accédé à un poste convoité à seulement 40 ans. Avec elle, on parle de l’importance d’avancer étape par étape, de la nécessité de savoir ce que l’on veut vraiment et de la notion de réussite.Jacqueline Duhême, illustratrice
Elle est tout simplement incroyable. Habitée par sa passion depuis toute petite pour le dessin, Jacqueline Duhême a connu et côtoyé des artistes comme Eluard, Prévert, Matisse ou Queneau, a fait carrière durant 20 ans dans le magazine Elle en inventant un nouveau genre, le reportage-illustré, avant de se réinventer en se formant à l’art difficile de la tapisserie. A 90 ans, elle continue de dessiner et la bibliothèque parisienne Forney lui consacrera une rétrospective début 2019. Elle nous raconte la naissance de sa vocation, son enfance et les illustres rencontres qui ont ponctué son existence.Chrysoline de Gastines, co-fondatrice et directrice artistique de Balzac Paris
Pas toujours simple de poser un regard neuf sur une amie ! Pourtant, avec sa « bande de sœurs » qui pratique la sororité quotidiennement et sa très inspirante success-story à la tête de Balzac Paris, pour ce premier numéro, Chrysoline était une évidence. Avec elle, on s’interroge sur l’image que l’on renvoie aux autres, notamment par le biais des réseaux sociaux, édulcorée et forcément simpliste. Elle nous fait partager sa philosophie de vie, nous raconte son enfance au sein d’une famille nombreuse et nous explique que pour elle changer plusieurs fois de métier est une chance.Judith Levy et Juliette Couturier, fondatrices de Même
Pour un entretien, je n’ai pas rencontré une mais deux femmes incroyables. A seulement 23 ans, elles ont eu l’idée de créer Même, entreprise unique en France de cosmétiques et des soins pour les femmes atteintes d’un cancer. Avec elles, on parle de résilience et du fait parvenir à faire quelque chose de positif, constructif, tourné vers les autres, dans les plus dures épreuves de la vie. On a parlé aussi d’amitié et de confiance car ces deux fondatrices partagent bien plus que le quotidien.Hortense Montarnal, céramiste
A 40 ans, Hortense est une créatrice pleine de talent, emportée dans un tourbillon de succès. Pourtant, elle a longtemps eu du mal à trouver sa place. Elle se livre en toute franchise sur sa période d’errance dans le monde du travail, la pression ressentie et ses épisodes de dépression. Un joli exemple de late bloomer, que l’on peut traduire par floraison tardive.Hindou Oumarou Ibrahim, fondatrice de l’association des Femmes peules autochtones du Tchad
A seulement 34 ans, Hindou est une femme forte, très engagée dans la lutte pour la protection de l’environnement. Née en Afrique, détentrice du Prix spécial Danielle Mitterrand France- Libertés 2017, elle sensibilise le monde lors de sommets internationaux sur l’urgence vitale des peuples nomades en survie. Elle nous raconte son enfance, la force de sa mère qui lui a permis d’être scolarisée, et ses combats quotidiens.Faites vite connaissance avec nos 9 Soror !
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Soror Volume 2
Soror Volume 2
15,00€
Grande nouvelle : le second opus de Soror est disponible ! Voici sa couverture, réalisée par Alexandra De Assunçao. Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Voici son sommaire :
Marie-Sophie Obama, présidente déléguée du club professionnel Lyon ASVEL Féminin.
Durant son entretien, Marie-Sophie Obama revient sur l’importance, parfois ambivalente, du basket dans sa vie et ce depuis toute petite. Durant son enfance difficile, le basket se révèle un tuteur, un garde-fou. Mais il est synonyme également de contraintes et de pression ; difficile pour la jeune fille qu’elle est de dévoiler sa personnalité dans ce sport collectif où il faut parfois s’oublier au profit du groupe. Marie-Sophie Obama nous parle aussi sans détour de la maladie et de la mort, omniprésentes durant son parcours, du sentiment d’imposture et de l’importance à ses yeux de la transmission.Marion Bohé, cheffe chez Le Desjeuneur
Son enthousiasme et sa passion de la cuisine sont communicatifs. D’ailleurs, Marion le répète à plusieurs reprises durant son entretien : l’amour de la cuisine rassemble et ce même au-delà des cultures et des pays qu’elle a pris l’habitude de visiter depuis son adolescence. Cette spécialiste du tour de monde gustatif – qui a ouvert un restaurant à Londres avant de devenir cheffe à Lyon – insiste également sur l’importance de l’affectif, du partage et de la transmission derrière les fourneaux. Elle revient sur son parcours en détails, elle qui se destinait au départ à une carrière d’avocat, et évoque la place des femmes dans la restauration.Mai Hua, artiste
Difficile de la définir, de résumer son parcours… et cela lui va très bien comme ça. A quarante ans, Mai s’est débarrassée des nombreuses injonctions qu’elle s’imposait. Elle a quitté sa carapace de petite fille modèle, a arrêté de courir après la place de première de classe et de chercher à performer dans tous les domaines. Avec beaucoup de franchise, elle évoque ses multiples casquettes, sa vie de freelance, l’évolution de son blog à ses côtés, son rôle de maman mais aussi sa toute nouvelle aventure : son film, Les Rivières, dédié aux générations de femmes de sa famille.Ghada Hatem, gynécologue obstétricienne
Il est de ces rencontres qui vous marquent. Il était pour moi évident de consacrer un peu de place à Ghada Hatem dans ce second opus. Elle revient sur son enfance dans un Liban en guerre puis sur son arrivée en France et ses études de médecine. Elle nous explique pourquoi, selon elle, le.la gynécologue est la meilleur(e) ami(e) des femmes et le démontre en revenant en détails sur son grand projet : la création de la Maison des Femmes. Un lieu essentiel pour lequel Ghada doit pourtant toujours convaincre et batailler pour le voir perdurer.
Françoise et Marina Benesty, fondatrices de Harpe
Il était une fois une petite fille toujours fourrée dans les tissus de sa mère, couturière, à défaut d’être dans ses jupons. C’est pour passer plus de temps à ses côtés que Marina a eu l’idée de lancer sa marque de prêt-à-porter made in France avec elle. Mère et fille nous racontent comment la suite a pris forme, sans se presser, en se laissant du temps, sans faire de levée de fonds, tout en restant très à l’écoute de leurs clientes. Désormais Harpe, c’est aussi un showroom parisien et une collection de robes de mariée.Christine Spengler, photographe de guerre
Est-ce pour fuir sa propre souffrance et faire le deuil de son frère chéri qui s’est suicidé que Christine Spengler est partie immortaliser et témoigner de celle des autres ? Durant plus de trente ans, elle a couvert tous les conflits internationaux, de l’Iran à l’Irak en passant par la Palestine ou le Viet Nam. Avec franchise et humilité, elle m’a raconté son enfance entre la France et l’Espagne, le voyage avec son frère qui a fait naître sa vocation mais aussi son métier de reporter de guerre, revenant sur ses plus célèbres clichés. On a parlé aussi de ses photomontages oniriques et de sa capacité à se fondre dans les décors – n’importe quel décor – et à s’adapter à toutes les situations.Héléna Hugot, fondatrice des Petits Plus
Son enfance à l’étranger aura marqué tout son parcours. Hélèna Hugot s’engage très jeune dans l’humanitaire et dans le milieu associatif. Après une expérience dans l’enseignement, elle fonde les Petits Plus, une école alternative, qui est la somme de ses diverses expériences. Elle nous raconte le concept de cette école d’un nouveau genre et nous détaille les difficultés qu’elle a dû dépasser pour mener à bien cette aventure et créer son entreprise.
Kiyémis, poétesse
A peine 25 ans, Kiyémis est une poétesse afro-féministe engagée qui a fait des réseaux sociaux sa tribune. Comment en est-elle arrivée à déclamer haut et fort son engagement si jeune ? Quelle a été son enfance, quel héritage a-t-elle reçu et quelles personnes l’inspirent ? Elle nous raconte tout en détails et nous parle également de son aventure littéraire.