Informations complémentaires
Poids | 562 g |
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Dimensions | 27 × 27 cm |
19,00€
Le nouveau Etonnantes est une merveille ! Bravo Solenn Cosotti qui met tant de passion, de talent et de détermination dans son travail : valoriser les Nantaises.
J’ai eu la chance de rédiger un article dans ce second opus, mais je peux vous dire que ces 160 pages méritent qu’on se plonge dedans. Elles sont réparties à travers 7 grandes rubriques : Elle / Actuelles / Culturelles / Duelles / Naturelles / Aquarelles / Sensorielles
La couverture d’Étonnantes n°2 est une carte blanche confiée au duo d’illustratrices nantaises Mlle Jane Doe.
Désormais, vous pouvez donc commander sur Sororlarevue.com les deux volumes parus d’Etonnantes, ceux de Soror et hop, les glisser dans le même panier. On appelle cela un coup gagnant ! A vous les parcours de femmes d’exception, pour vous inspirer autant que vous évader.
Poids | 562 g |
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Dimensions | 27 × 27 cm |
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2,00€
Les contributeurs qui ont encouragé Soror sur Ulule ont eu la primeur de leur découverte… Mais pour les autres, nous voulons bien faire les présentations. Voici les deux cartes postales Soror, aux jolies bords arrondis et aux couleurs pastel. Leur but dans la vie ? Faire connaître et diffuser au plus grand nom le terme Sororité, ce mot qui galvanise, à la consonance si forte et douce à la fois.
On vous les préconise : pour dire à votre meilleure amie qu’elle vous manque ou pour encourager votre collègue qui se lance dans un nouveau projet. Pour changer des sempiternelles cartes postales de chatons ou d’ânes avec chapeaux sur la tête, pour faire passer un message à votre homme ou célébrer d’une façon originale votre sœur ou votre maman… Bref, vous l’avez compris, elles relèvent tous les défis que vous leur lancerez !
A vous de choisir votre camp : le gang du rose saumon ou du bleu clair ? A moins que vous ne préfériez en prendre une de chaque, c’est possible aussi 😉
2,00€
Et si on détournait la devise Républicaine « Liberté, Egalité, Fraternité » pour la mettre un peu plus à notre sauce ? Cette carte postale est la petite dernière de notre gamme, mais elle porte fièrement nos valeurs et s’inscrit parfaitement dans la lignée des précédentes. Et surtout, elle a pour mission de faire connaître et diffuser au plus grand nombre ce terme sororité qui nous est si cher, désignant les liens entre les femmes qui se sentent des affinités, par leur condition féminine même.
On rêve un peu ? On vous imagine déjà, gribouiller, au dos de cette carte, un mot plein d’encouragement à l’une des femmes de votre vie avant de la poster le cœur battant. On vous voit déjà poser cette carte postale sur la cheminée du salon, ou l’afficher au mur de votre bureau avec un joli masking-tape, pour vous donner du courage chaque jour.
Une carte pour se faire du bien, galvanisante et remplie de bonnes ondes.
15,00€
Grande nouvelle : le second opus de Soror est disponible ! Voici sa couverture, réalisée par Alexandra De Assunçao. Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Voici son sommaire :
Marie-Sophie Obama, présidente déléguée du club professionnel Lyon ASVEL Féminin.
Durant son entretien, Marie-Sophie Obama revient sur l’importance, parfois ambivalente, du basket dans sa vie et ce depuis toute petite. Durant son enfance difficile, le basket se révèle un tuteur, un garde-fou. Mais il est synonyme également de contraintes et de pression ; difficile pour la jeune fille qu’elle est de dévoiler sa personnalité dans ce sport collectif où il faut parfois s’oublier au profit du groupe. Marie-Sophie Obama nous parle aussi sans détour de la maladie et de la mort, omniprésentes durant son parcours, du sentiment d’imposture et de l’importance à ses yeux de la transmission.
Marion Bohé, cheffe chez Le Desjeuneur
Son enthousiasme et sa passion de la cuisine sont communicatifs. D’ailleurs, Marion le répète à plusieurs reprises durant son entretien : l’amour de la cuisine rassemble et ce même au-delà des cultures et des pays qu’elle a pris l’habitude de visiter depuis son adolescence. Cette spécialiste du tour de monde gustatif – qui a ouvert un restaurant à Londres avant de devenir cheffe à Lyon – insiste également sur l’importance de l’affectif, du partage et de la transmission derrière les fourneaux. Elle revient sur son parcours en détails, elle qui se destinait au départ à une carrière d’avocat, et évoque la place des femmes dans la restauration.
Mai Hua, artiste
Difficile de la définir, de résumer son parcours… et cela lui va très bien comme ça. A quarante ans, Mai s’est débarrassée des nombreuses injonctions qu’elle s’imposait. Elle a quitté sa carapace de petite fille modèle, a arrêté de courir après la place de première de classe et de chercher à performer dans tous les domaines. Avec beaucoup de franchise, elle évoque ses multiples casquettes, sa vie de freelance, l’évolution de son blog à ses côtés, son rôle de maman mais aussi sa toute nouvelle aventure : son film, Les Rivières, dédié aux générations de femmes de sa famille.
Ghada Hatem, gynécologue obstétricienne
Il est de ces rencontres qui vous marquent. Il était pour moi évident de consacrer un peu de place à Ghada Hatem dans ce second opus. Elle revient sur son enfance dans un Liban en guerre puis sur son arrivée en France et ses études de médecine. Elle nous explique pourquoi, selon elle, le.la gynécologue est la meilleur(e) ami(e) des femmes et le démontre en revenant en détails sur son grand projet : la création de la Maison des Femmes. Un lieu essentiel pour lequel Ghada doit pourtant toujours convaincre et batailler pour le voir perdurer.
Françoise et Marina Benesty, fondatrices de Harpe
Il était une fois une petite fille toujours fourrée dans les tissus de sa mère, couturière, à défaut d’être dans ses jupons. C’est pour passer plus de temps à ses côtés que Marina a eu l’idée de lancer sa marque de prêt-à-porter made in France avec elle. Mère et fille nous racontent comment la suite a pris forme, sans se presser, en se laissant du temps, sans faire de levée de fonds, tout en restant très à l’écoute de leurs clientes. Désormais Harpe, c’est aussi un showroom parisien et une collection de robes de mariée.
Christine Spengler, photographe de guerre
Est-ce pour fuir sa propre souffrance et faire le deuil de son frère chéri qui s’est suicidé que Christine Spengler est partie immortaliser et témoigner de celle des autres ? Durant plus de trente ans, elle a couvert tous les conflits internationaux, de l’Iran à l’Irak en passant par la Palestine ou le Viet Nam. Avec franchise et humilité, elle m’a raconté son enfance entre la France et l’Espagne, le voyage avec son frère qui a fait naître sa vocation mais aussi son métier de reporter de guerre, revenant sur ses plus célèbres clichés. On a parlé aussi de ses photomontages oniriques et de sa capacité à se fondre dans les décors – n’importe quel décor – et à s’adapter à toutes les situations.
Héléna Hugot, fondatrice des Petits Plus
Son enfance à l’étranger aura marqué tout son parcours. Hélèna Hugot s’engage très jeune dans l’humanitaire et dans le milieu associatif. Après une expérience dans l’enseignement, elle fonde les Petits Plus, une école alternative, qui est la somme de ses diverses expériences. Elle nous raconte le concept de cette école d’un nouveau genre et nous détaille les difficultés qu’elle a dû dépasser pour mener à bien cette aventure et créer son entreprise.
Kiyémis, poétesse
A peine 25 ans, Kiyémis est une poétesse afro-féministe engagée qui a fait des réseaux sociaux sa tribune. Comment en est-elle arrivée à déclamer haut et fort son engagement si jeune ? Quelle a été son enfance, quel héritage a-t-elle reçu et quelles personnes l’inspirent ? Elle nous raconte tout en détails et nous parle également de son aventure littéraire.
19,00€
Solenn Cosotti est journaliste. Elle a tout d’abord lancé son site, pensé comme une galerie de portraits au féminin, avec pour ambition de mettre en avant des Nantaises passionnées et inspirantes. Et, parce qu’il n’y avait pas d’équivalent dans sa région, naturellement l’idée d’une revue papier s’est imposée à elle. Ensemble, nous avons échangé sur nos métiers, nos envies de valoriser les femmes et de leur offrir un véritable espace de parole mais aussi sur l’auto-édition. Solenn m’a également proposé de participer au projet en réalisant l’enquête du premier numéro : Changer de métier pour mieux se réinventer.
Pour toutes ces raisons, je suis heureuse de vous proposer ici la revue Etonnantes. Pour encore plus de lectures de femmes, pleines d’optimisme et de force !
Etonnantes, en chiffres, c’est :
1 visuel de couverture qui laisse carte blanche à l’artiste Solenn Larnicol
160 pages réparties en 9 rubriques (Elle / Culturelles / Duelles / Confidentielles / Manuelles/ Actuelles / Étincelles / Sensorielles / Visuelle)
12 interviews et portraits de Nantaises (créatrice, entrepreneuses, réalisatrice, journaliste, etc.)
1 recette d’une cheffe nantaise
9 créations d’artistes nantaises réalisées spécialement pour Étonnantes
Mon conseil : hâtez-vous de découvrir cette très belle revue, avec une foule de contenus !
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