Informations complémentaires
Poids | 9 g |
---|---|
Dimensions | 10 × 14 cm |
2,00€
Un honneur, une chance, un bonheur : les qualificatifs ne manquent pas pour exprimer toute notre joie de voir l’artiste Sara Ödman signer la couverture du volume 3 !
Son illustration symbolise pleinement les femmes qui composent ce troisième opus alors la décliner en carte postale était une évidence. Nous retrouvons ici cette femme flamboyante, à la fois sereine et intrépide, qui, le regard tourné vers le mot “Soror”, nous invite à prendre de la hauteur, mais aussi à accomplir nos rêves et à conserver coûte que coûte nos espoirs.
On vous la préconise donc pour faire plaisir à une amie, une mère, une sœur, une collègue qui a juste besoin qu’on lui rappelle combien elle est extra. Enfin, toutes les occasions sont bonnes de l’adopter – même pour soi.
Poids | 9 g |
---|---|
Dimensions | 10 × 14 cm |
Vous devez être connecté pour publier un avis.
23,00€
« J’aimerais un t-shirt autour du terme sororité » ai-je confié à ma copine Sylvie. « Liberté, égalité, sororité » m’a-t-elle répondu du tac au tac. Bingo ! Mais pour cela, il fallait encore trouver le fournisseur et imprimeur de t-shirt parfait, celui qui proposerait des produits à la qualité soignée, respectueux de l’environnement.
C’est là que ma copine Isabelle entre en scène. Elle me met en relation avec son frère qui a une société à Patras, Inkognito. J’aime l’idée de soutenir une entreprise grecque, même à ma minuscule échelle, mais surtout, j’aime l’idée de travailler en famille, entre amis !
Pour rendre ce t-shirt unique et lui apporter encore plus de personnalité, l’illustratrice Mathilde Bel est venue compléter le travail de cette joyeuse bande. Elle a ajouté quelques feuilles pour souligner le texte avec délicatesse et faire un rappel de la couverture de Soror.
Alors, ce n’est pas une histoire de fraternité et de sororité, tout ça, franchement ?
Les t-shirts ont été conçus avant tout pour les contributeurs Ulule. Il n’en reste donc plus que quelques-uns. Dépêchez-vous vite de commander votre t-shirt Liberté, égalité, sororité, en série ULTRA limitée !
Matière : 100% coton, encre végétale
Entretien : Lavage en machine 40°C
Taille S correspond à un 36-38, Taille M à un 40-42 et L à un 44-46.
15,00€ – 20,00€
Grande nouvelle : le troisième opus de Soror est disponible ! Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Sa couverture a été dessinée par l’illustratrice et peintre Sara Ödman. A travers ses illustrations et ses tableaux, elle dresse le portrait d’une femme aux formes généreuses, puissante et douce à la fois, altière, déterminée, affranchie de toute contrainte. Le regard tourné vers le mot « Soror », elle nous invite à prendre de la hauteur, mais aussi à accomplir nos rêves et à conserver coûte que coûte nos espoirs. Quant à la palette de coloris, franche mais délicate, allant du rouge profond au rose en passant par l’ocre, elle incarne parfaitement l’esprit et le parcours des huit Soror qui composent ce nouveau numéro : engagées, résolues, travailleuses et audacieuses.
Enfin, voici le sommaire de Soror, vol. 3 :
Julie Davico-Pahin, co-fondatrice de la start-up AgriTech Ombres
Pour Julie, âgée seulement de 24 ans au lancement de sa boîte, créer Ombrea était un « devoir ». Suite à un épisode de sécheresse, c’est en assistant, démunie, à la disparition de 25% des cultures de ses parents horticulteurs que lui vient l’idée d’un outil qui régule le climat : une ombrière intelligente. Sans expérience dans le domaine, Julie doit lutter contre le syndrome d’imposteur, renoncer à ses élans d’indépendance en s’associant à son père et se confronter à une levée de fonds dans un milieu profondément machiste. Elle évoque avec nous ses doutes, ses réussites et nous dévoile sans détour son ambition.
Diglee, illustratrice et écrivaine
Maureen Wingrove, plus connue sous le pseudonyme de Diglee, s’est toujours rêvée dessinatrice. Durant l’entretien, elle nous confie ses débuts alors même qu’elle est toujours étudiante. Si elle rencontre rapidement le succès dans la BD, elle explique pourquoi elle ne s’est jamais « sentie appartenir à ce monde ». Elle évoque aussi son militantisme féministe de plus en plus assumé au fil des années, ses role models, et les dictas féminins desquels elle a su s’émanciper. Elle partage aussi des bribes de son enfance, son amour pour la poésie, ses projets d’écriture et son rapport à la beauté.
Emmanuelle Amar, épidémiologiste
Son nom ne vous est peut-être pas familier, pourtant Emmanuelle Amar est connue dans la France entière pour avoir révélé au grand public l’affaire des enfants sans bras. Pas évident de faire face à cette soudaine notoriété accompagnée de critiques virulentes et pressions violentes, pour cette épidémiologiste dont le travail habituellement est voué « à rester dans l’ombre ». Emmanuelle retrace son parcours, son enfance joyeuse dans une famille nombreuse, la façon dont elle a mené de front reprise d’études et vie de famille, ses années d’expatriée… Jusqu’à son travail au sein du registre Remera et par là-même son combat de pour faire réagir les organismes de santé.
Amelia Tavella, architecte
Elle est l’une des rares femmes à la tête de son agence d’architecture et le machisme omniprésent dans cette profession ne l’impressionne nullement. Peut-être parce que rien ne l’effraie, d’ailleurs. Sur son île natale, la Corse, Amelia choisit les chantiers les plus ardus, les tâches les plus délicates, les « sites les plus sensibles » comme elle les décrit elle-même ; à l’image de couvents et citadelle réhabilités ou de créations d’équipements publics. Portée par son amour pour la Corse et la Méditerranée, Amelia raconte ses choix de carrière, la concurrence tout comme les responsabilités qui incombent à ce métier, mais aussi son enfance et ce qu’elle souhaite transmettre à ses filles.
Hélène Lafont-Couturier, directrice du musée des Confluences
Son CV donne le tournis. Jeune trentenaire, elle vient à peine de démarrer sa carrière, qu’elle saisit l’occasion de diriger un musée bordelais dont on lui confie aussi la création. Quand elle intervient au musée des Confluences, la tâche est complexe, le chantier entamé depuis déjà six ans. Une période difficile où le doute est interdit. Hélène se remémore aussi ses remises en question permanentes qui lui ont permis de saisir les opportunités qui se présentaient au cours de sa carrière.
Maïmouna Doucouré, réalisatrice
La petite Maïmouna rêve en silence de cinéma. Les récits habitent son enfance car elle visionne des tonnes de films de genre entourée de ses neuf frères et sœurs et sa grand-mère sénégalaise lui conte une foultitude d’histoires. Pourtant, comment réussir dans un milieu si concurrentiel et fermé ? En s’armant d’une grande dose de courage et de détermination mais aussi en faisant preuve d’authenticité. Maimouna nous raconte son enfance, ses débuts dans le cinéma et évoque sa volonté d’inciter à la réflexion avec des films forts, percutants qui s’attaquent à des sujets de société sensibles comme la polygamie et l’hypersexualisation des petites filles.
Ethery Pagava, danseuse étoile
La passion d’Ethery pour la danse est à l’image de sa dévotion pour cette discipline. A 88 ans, elle évoque pour nous ses débuts. Elle a 5 ans, quand elle est repérée par des professionnels qui décèlent immédiatement son talent et sa grâce… Une histoire, digne d’un conte de fées, jusqu’à son incroyable exploit : être devenue danseuse étoile à seulement 15 ans. Durant notre entretien, elle raconte l’importance de l’équilibre vie personnelle et professionnelle ainsi que la transmission de son art, notamment aux plus jeunes.
Laurence Revol, photographe
Passée experte en l’art de sublimer les femmes, Laurence évoque pour nous ses débuts – purement liés au hasard – dans la photographie, après avoir cofondé Epouse-moi cocotte avec une amie. Pêle-mêle, avec beaucoup de spontanéité et de franchise, elle nous raconte ses débuts en tant que directrice artistique, sa casquette d’entrepreneuse mais aussi de photographe, constamment attirée par d’autres formes d’expression.
Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Deux options sont possibles au moment du paiement, achat simple ou achat solidaire pour offrir un exemplaire à la Maison de la Soie.
2,00€
La collaboration avec la dessinatrice Alexandra De Assunçao a été une vraie rencontre. C’est elle qui a signé la couverture du volume 2, ce qui n’est déjà pas rien ; mais je n’avais pas envie d’en rester là. Telle une déclinaison de son illustration, cette carte postale reprend le groupe de femmes incarnant l’entraide, la communion, la transmission, la solidarité féminine qu’elle a imaginé pour Soror.
Cette carte postale sera la pièce maîtresse de votre moodboard, affichée dans votre bureau ou votre salon. Elle sera parfaite exposée fièrement sous un cadre en cuivre ou en bois ou simplement mise en valeur avec du masking-tape. Mais elle peut aussi faire office de jolie attention à expédier pour dire à votre meilleure amie qu’elle vous manque ou pour encourager votre collègue qui se lance dans un nouveau projet, pour célébrer d’une façon originale votre sœur ou votre maman…
Une carte postale hymne au féminin et à la sororité !
34,00€
*REMISE EN MAIN PROPRE A LYON UNIQUEMENT*
Après notre collaboration sur la couverture du volume 3, Sara Ödman et moi n’avons pas pu en rester là (gourmandes que nous sommes). Il faut reconnaître que nous adorons ce que nous faisons et plus que tout le faire ensemble. Et puis, c’est vous qui nous avez glissé l’idée ! Alors merci de nous l’avoir réclamé 😉
Puisque vos désirs sont des ordres, voici l’affiche Sara Ödman X Soror, tirée de la couverture du volume 3.
Imprimée à Lyon en tirage limité à 250 exemplaires, notre affiche sera numérotée et signée rien que pour vous.
Pour retranscrire au plus juste les coups de pinceaux de l’artiste Sara Ödman et donner du relief et du caractère à l’affiche nous avons choisi avec minutie le papier : un papier à grain – mais pas trop – de 250 g/m2. Il permet d’obtenir une affiche lisse au rendu mat, tout en donnant l’illusion d’une peinture. L’impression n’a pas été laissée au hasard puisqu’elle a été réalisée en jet d’encre pour obtenir cette profondeur de coloris, chez un spécialiste de la coloration et de l’impression en petite série, à Lyon.
Ses dimensions, 320 x 450 mm correspondent à un format SRA3, autrement dit une affiche un peu plus grande qu’un format A3 (297 x 420mm). Résultat, encadrée ou pas, posée sur un buffet ou une cheminée ou trônant fièrement au-dessus du canapé avec des porte-baguettes, cette oeuvre « art print » habillera instantanément la pièce.
Pour le moment, seule la remise en main propre est possible, à Lyon dans le quatrième arrondissement. N’hésitez pas à nous écrire à soror.la.revue@gmail.com pour toute question.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.