Informations complémentaires
Poids | 9 g |
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Dimensions | 10 × 14 cm |
2,00€
Un honneur, une chance, un bonheur : les qualificatifs ne manquent pas pour exprimer toute notre joie de voir l’artiste Sara Ödman signer la couverture du volume 3 !
Son illustration symbolise pleinement les femmes qui composent ce troisième opus alors la décliner en carte postale était une évidence. Nous retrouvons ici cette femme flamboyante, à la fois sereine et intrépide, qui, le regard tourné vers le mot “Soror”, nous invite à prendre de la hauteur, mais aussi à accomplir nos rêves et à conserver coûte que coûte nos espoirs.
On vous la préconise donc pour faire plaisir à une amie, une mère, une sœur, une collègue qui a juste besoin qu’on lui rappelle combien elle est extra. Enfin, toutes les occasions sont bonnes de l’adopter – même pour soi.
Poids | 9 g |
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Dimensions | 10 × 14 cm |
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15,00€
Grande nouvelle : le second opus de Soror est disponible ! Voici sa couverture, réalisée par Alexandra De Assunçao. Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Voici son sommaire :
Marie-Sophie Obama, présidente déléguée du club professionnel Lyon ASVEL Féminin.
Durant son entretien, Marie-Sophie Obama revient sur l’importance, parfois ambivalente, du basket dans sa vie et ce depuis toute petite. Durant son enfance difficile, le basket se révèle un tuteur, un garde-fou. Mais il est synonyme également de contraintes et de pression ; difficile pour la jeune fille qu’elle est de dévoiler sa personnalité dans ce sport collectif où il faut parfois s’oublier au profit du groupe. Marie-Sophie Obama nous parle aussi sans détour de la maladie et de la mort, omniprésentes durant son parcours, du sentiment d’imposture et de l’importance à ses yeux de la transmission.
Marion Bohé, cheffe chez Le Desjeuneur
Son enthousiasme et sa passion de la cuisine sont communicatifs. D’ailleurs, Marion le répète à plusieurs reprises durant son entretien : l’amour de la cuisine rassemble et ce même au-delà des cultures et des pays qu’elle a pris l’habitude de visiter depuis son adolescence. Cette spécialiste du tour de monde gustatif – qui a ouvert un restaurant à Londres avant de devenir cheffe à Lyon – insiste également sur l’importance de l’affectif, du partage et de la transmission derrière les fourneaux. Elle revient sur son parcours en détails, elle qui se destinait au départ à une carrière d’avocat, et évoque la place des femmes dans la restauration.
Mai Hua, artiste
Difficile de la définir, de résumer son parcours… et cela lui va très bien comme ça. A quarante ans, Mai s’est débarrassée des nombreuses injonctions qu’elle s’imposait. Elle a quitté sa carapace de petite fille modèle, a arrêté de courir après la place de première de classe et de chercher à performer dans tous les domaines. Avec beaucoup de franchise, elle évoque ses multiples casquettes, sa vie de freelance, l’évolution de son blog à ses côtés, son rôle de maman mais aussi sa toute nouvelle aventure : son film, Les Rivières, dédié aux générations de femmes de sa famille.
Ghada Hatem, gynécologue obstétricienne
Il est de ces rencontres qui vous marquent. Il était pour moi évident de consacrer un peu de place à Ghada Hatem dans ce second opus. Elle revient sur son enfance dans un Liban en guerre puis sur son arrivée en France et ses études de médecine. Elle nous explique pourquoi, selon elle, le.la gynécologue est la meilleur(e) ami(e) des femmes et le démontre en revenant en détails sur son grand projet : la création de la Maison des Femmes. Un lieu essentiel pour lequel Ghada doit pourtant toujours convaincre et batailler pour le voir perdurer.
Françoise et Marina Benesty, fondatrices de Harpe
Il était une fois une petite fille toujours fourrée dans les tissus de sa mère, couturière, à défaut d’être dans ses jupons. C’est pour passer plus de temps à ses côtés que Marina a eu l’idée de lancer sa marque de prêt-à-porter made in France avec elle. Mère et fille nous racontent comment la suite a pris forme, sans se presser, en se laissant du temps, sans faire de levée de fonds, tout en restant très à l’écoute de leurs clientes. Désormais Harpe, c’est aussi un showroom parisien et une collection de robes de mariée.
Christine Spengler, photographe de guerre
Est-ce pour fuir sa propre souffrance et faire le deuil de son frère chéri qui s’est suicidé que Christine Spengler est partie immortaliser et témoigner de celle des autres ? Durant plus de trente ans, elle a couvert tous les conflits internationaux, de l’Iran à l’Irak en passant par la Palestine ou le Viet Nam. Avec franchise et humilité, elle m’a raconté son enfance entre la France et l’Espagne, le voyage avec son frère qui a fait naître sa vocation mais aussi son métier de reporter de guerre, revenant sur ses plus célèbres clichés. On a parlé aussi de ses photomontages oniriques et de sa capacité à se fondre dans les décors – n’importe quel décor – et à s’adapter à toutes les situations.
Héléna Hugot, fondatrice des Petits Plus
Son enfance à l’étranger aura marqué tout son parcours. Hélèna Hugot s’engage très jeune dans l’humanitaire et dans le milieu associatif. Après une expérience dans l’enseignement, elle fonde les Petits Plus, une école alternative, qui est la somme de ses diverses expériences. Elle nous raconte le concept de cette école d’un nouveau genre et nous détaille les difficultés qu’elle a dû dépasser pour mener à bien cette aventure et créer son entreprise.
Kiyémis, poétesse
A peine 25 ans, Kiyémis est une poétesse afro-féministe engagée qui a fait des réseaux sociaux sa tribune. Comment en est-elle arrivée à déclamer haut et fort son engagement si jeune ? Quelle a été son enfance, quel héritage a-t-elle reçu et quelles personnes l’inspirent ? Elle nous raconte tout en détails et nous parle également de son aventure littéraire.
2,00€
Les contributeurs qui ont encouragé Soror sur Ulule ont eu la primeur de leur découverte… Mais pour les autres, nous voulons bien faire les présentations. Voici les deux cartes postales Soror, aux jolies bords arrondis et aux couleurs pastel. Leur but dans la vie ? Faire connaître et diffuser au plus grand nom le terme Sororité, ce mot qui galvanise, à la consonance si forte et douce à la fois.
On vous les préconise : pour dire à votre meilleure amie qu’elle vous manque ou pour encourager votre collègue qui se lance dans un nouveau projet. Pour changer des sempiternelles cartes postales de chatons ou d’ânes avec chapeaux sur la tête, pour faire passer un message à votre homme ou célébrer d’une façon originale votre sœur ou votre maman… Bref, vous l’avez compris, elles relèvent tous les défis que vous leur lancerez !
A vous de choisir votre camp : le gang du rose saumon ou du bleu clair ? A moins que vous ne préfériez en prendre une de chaque, c’est possible aussi 😉
34,00€
*REMISE EN MAIN PROPRE A LYON UNIQUEMENT*
Après notre collaboration sur la couverture du volume 3, Sara Ödman et moi n’avons pas pu en rester là (gourmandes que nous sommes). Il faut reconnaître que nous adorons ce que nous faisons et plus que tout le faire ensemble. Et puis, c’est vous qui nous avez glissé l’idée ! Alors merci de nous l’avoir réclamé 😉
Puisque vos désirs sont des ordres, voici l’affiche Sara Ödman X Soror, tirée de la couverture du volume 3.
Imprimée à Lyon en tirage limité à 250 exemplaires, notre affiche sera numérotée et signée rien que pour vous.
Pour retranscrire au plus juste les coups de pinceaux de l’artiste Sara Ödman et donner du relief et du caractère à l’affiche nous avons choisi avec minutie le papier : un papier à grain – mais pas trop – de 250 g/m2. Il permet d’obtenir une affiche lisse au rendu mat, tout en donnant l’illusion d’une peinture. L’impression n’a pas été laissée au hasard puisqu’elle a été réalisée en jet d’encre pour obtenir cette profondeur de coloris, chez un spécialiste de la coloration et de l’impression en petite série, à Lyon.
Ses dimensions, 320 x 450 mm correspondent à un format SRA3, autrement dit une affiche un peu plus grande qu’un format A3 (297 x 420mm). Résultat, encadrée ou pas, posée sur un buffet ou une cheminée ou trônant fièrement au-dessus du canapé avec des porte-baguettes, cette oeuvre « art print » habillera instantanément la pièce.
Pour le moment, seule la remise en main propre est possible, à Lyon dans le quatrième arrondissement. N’hésitez pas à nous écrire à soror.la.revue@gmail.com pour toute question.
6,50€
Et si vous cassiez les codes des cartes de voeux cette année ? Pour des fêtes et une nouvelle année placées sous le signe de la sororité, nous avons réuni nos quatre modèles de cartes postales afin de vous les proposer, à prix doux. De quoi renouer avec le plaisir des voeux écrits puis postés !
Une offre limitée pour les fêtes, alors faites-vous plaisir !
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