Informations complémentaires
Poids | 220 g |
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Dimensions | 16.50 × 24 cm |
40,00€
Aude Herrard est la créatrice de Trois petits riens, des « petites choses futiles, minimalistes, des dessins brodés qui font du bien. » C’est grâce à Instagram que nous avons fait connaissance et c’est naturellement que nous avons souhaité réunir nos sensibilités communes autour d’une collaboration pour les fêtes de fin d’année. Nous avions les mêmes images en tête : des silhouettes féminines, une étreinte tendre et puissante à la fois pour incarner la solidarité féminine, la sororité.
En série ultra limitée, 100% made in France, nous vous proposons donc une formule, à glisser aux pieds du sapin, composée :
+ D’une création exclusive, brodée à la main dans l’atelier nantais d’Aude. Ce dessin brodé représente un trio de femmes avec une impression de sérénité voire de recueillement qui émane de leurs expressions et de leurs postures. Le fil doré qui est un peu la marque de fabrique d’Aude, se perd et se mêle dans leur chevelure, tel un fil conducteur et un lien aussi discret que solide. Un dessin brodé à offrir ou à s’offrir, à garder tout près de soi, accroché à un mur ou sous cadre. Dimensions : 7x9cm
+ Un exemplaire du premier volume de Soror, première revue indépendante entièrement composée de portraits et d’entretiens de femmes. Un contenu sans publicité ni date de de péremption qui présente 9 femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. 96 pages, imprimé en France.
Rupture de stock
Poids | 220 g |
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Dimensions | 16.50 × 24 cm |
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15,00€
Grande nouvelle : le second opus de Soror est disponible ! Voici sa couverture, réalisée par Alexandra De Assunçao. Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Voici son sommaire :
Marie-Sophie Obama, présidente déléguée du club professionnel Lyon ASVEL Féminin.
Durant son entretien, Marie-Sophie Obama revient sur l’importance, parfois ambivalente, du basket dans sa vie et ce depuis toute petite. Durant son enfance difficile, le basket se révèle un tuteur, un garde-fou. Mais il est synonyme également de contraintes et de pression ; difficile pour la jeune fille qu’elle est de dévoiler sa personnalité dans ce sport collectif où il faut parfois s’oublier au profit du groupe. Marie-Sophie Obama nous parle aussi sans détour de la maladie et de la mort, omniprésentes durant son parcours, du sentiment d’imposture et de l’importance à ses yeux de la transmission.
Marion Bohé, cheffe chez Le Desjeuneur
Son enthousiasme et sa passion de la cuisine sont communicatifs. D’ailleurs, Marion le répète à plusieurs reprises durant son entretien : l’amour de la cuisine rassemble et ce même au-delà des cultures et des pays qu’elle a pris l’habitude de visiter depuis son adolescence. Cette spécialiste du tour de monde gustatif – qui a ouvert un restaurant à Londres avant de devenir cheffe à Lyon – insiste également sur l’importance de l’affectif, du partage et de la transmission derrière les fourneaux. Elle revient sur son parcours en détails, elle qui se destinait au départ à une carrière d’avocat, et évoque la place des femmes dans la restauration.
Mai Hua, artiste
Difficile de la définir, de résumer son parcours… et cela lui va très bien comme ça. A quarante ans, Mai s’est débarrassée des nombreuses injonctions qu’elle s’imposait. Elle a quitté sa carapace de petite fille modèle, a arrêté de courir après la place de première de classe et de chercher à performer dans tous les domaines. Avec beaucoup de franchise, elle évoque ses multiples casquettes, sa vie de freelance, l’évolution de son blog à ses côtés, son rôle de maman mais aussi sa toute nouvelle aventure : son film, Les Rivières, dédié aux générations de femmes de sa famille.
Ghada Hatem, gynécologue obstétricienne
Il est de ces rencontres qui vous marquent. Il était pour moi évident de consacrer un peu de place à Ghada Hatem dans ce second opus. Elle revient sur son enfance dans un Liban en guerre puis sur son arrivée en France et ses études de médecine. Elle nous explique pourquoi, selon elle, le.la gynécologue est la meilleur(e) ami(e) des femmes et le démontre en revenant en détails sur son grand projet : la création de la Maison des Femmes. Un lieu essentiel pour lequel Ghada doit pourtant toujours convaincre et batailler pour le voir perdurer.
Françoise et Marina Benesty, fondatrices de Harpe
Il était une fois une petite fille toujours fourrée dans les tissus de sa mère, couturière, à défaut d’être dans ses jupons. C’est pour passer plus de temps à ses côtés que Marina a eu l’idée de lancer sa marque de prêt-à-porter made in France avec elle. Mère et fille nous racontent comment la suite a pris forme, sans se presser, en se laissant du temps, sans faire de levée de fonds, tout en restant très à l’écoute de leurs clientes. Désormais Harpe, c’est aussi un showroom parisien et une collection de robes de mariée.
Christine Spengler, photographe de guerre
Est-ce pour fuir sa propre souffrance et faire le deuil de son frère chéri qui s’est suicidé que Christine Spengler est partie immortaliser et témoigner de celle des autres ? Durant plus de trente ans, elle a couvert tous les conflits internationaux, de l’Iran à l’Irak en passant par la Palestine ou le Viet Nam. Avec franchise et humilité, elle m’a raconté son enfance entre la France et l’Espagne, le voyage avec son frère qui a fait naître sa vocation mais aussi son métier de reporter de guerre, revenant sur ses plus célèbres clichés. On a parlé aussi de ses photomontages oniriques et de sa capacité à se fondre dans les décors – n’importe quel décor – et à s’adapter à toutes les situations.
Héléna Hugot, fondatrice des Petits Plus
Son enfance à l’étranger aura marqué tout son parcours. Hélèna Hugot s’engage très jeune dans l’humanitaire et dans le milieu associatif. Après une expérience dans l’enseignement, elle fonde les Petits Plus, une école alternative, qui est la somme de ses diverses expériences. Elle nous raconte le concept de cette école d’un nouveau genre et nous détaille les difficultés qu’elle a dû dépasser pour mener à bien cette aventure et créer son entreprise.
Kiyémis, poétesse
A peine 25 ans, Kiyémis est une poétesse afro-féministe engagée qui a fait des réseaux sociaux sa tribune. Comment en est-elle arrivée à déclamer haut et fort son engagement si jeune ? Quelle a été son enfance, quel héritage a-t-elle reçu et quelles personnes l’inspirent ? Elle nous raconte tout en détails et nous parle également de son aventure littéraire.
20,00€ – 30,00€
O.S.E
Trois petites lettres, gravées et dorées à l’or fin, 24 carats, 2 microns.
Trois petites lettres pour réunir les univers de SIR Jane et de la revue Soror.
Trois petites lettres pour résumer les valeurs que nous souhaitons partager avec vous.
Nous même nous avons OSÉ l’impératif, car c’est le temps qui donne l’impulsion, le temps de l’audace et l’élan, celui aussi qui se veut encourageant et complice. OSE est une invitation. Une invitation à plus de fantaisie, plus d’assurance, plus de créativité, plus d’audace, plus de confiance, plus de courage. Et quoi de mieux qu’un bracelet, s’agitant à notre poignet, pour nous le rappeler tous les jours ?
O.S.E
Nous avons pris beaucoup de plaisir à penser ce bijou, en soignant chaque détail. Ainsi, ces médailles qui tintent joliment au poignet (on avoue, on adore ça) coulissent sur un fil rose gold lurex, élégant et féminin, qui reprend les codes de nos marques respectives. Résistant, vous pouvez le garder à votre poignet et vous avez même le droit de le garder pour dormir ou vous doucher !
O.S.E
Au cœur de ces trois petites lettres, le S est central. Il est l’initiale de nos marques – SIR Jane, Soror – mais aussi de la Sororité, qui nous rassemble toutes. Et pour accompagner ces trois petites lettres, la citation de Simone de Beauvoir est la phrase idéale.
Cette création faite à quatre mains, est proposée seule au prix de 20 euros ou à 30 euros, accompagnée du second volume de la revue Soror, avec ses portraits au long cours de femmes plurielles, agissantes et libres.
15,00€ – 20,00€
Grande nouvelle : le troisième opus de Soror est disponible ! Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Sa couverture a été dessinée par l’illustratrice et peintre Sara Ödman. A travers ses illustrations et ses tableaux, elle dresse le portrait d’une femme aux formes généreuses, puissante et douce à la fois, altière, déterminée, affranchie de toute contrainte. Le regard tourné vers le mot « Soror », elle nous invite à prendre de la hauteur, mais aussi à accomplir nos rêves et à conserver coûte que coûte nos espoirs. Quant à la palette de coloris, franche mais délicate, allant du rouge profond au rose en passant par l’ocre, elle incarne parfaitement l’esprit et le parcours des huit Soror qui composent ce nouveau numéro : engagées, résolues, travailleuses et audacieuses.
Enfin, voici le sommaire de Soror, vol. 3 :
Julie Davico-Pahin, co-fondatrice de la start-up AgriTech Ombres
Pour Julie, âgée seulement de 24 ans au lancement de sa boîte, créer Ombrea était un « devoir ». Suite à un épisode de sécheresse, c’est en assistant, démunie, à la disparition de 25% des cultures de ses parents horticulteurs que lui vient l’idée d’un outil qui régule le climat : une ombrière intelligente. Sans expérience dans le domaine, Julie doit lutter contre le syndrome d’imposteur, renoncer à ses élans d’indépendance en s’associant à son père et se confronter à une levée de fonds dans un milieu profondément machiste. Elle évoque avec nous ses doutes, ses réussites et nous dévoile sans détour son ambition.
Diglee, illustratrice et écrivaine
Maureen Wingrove, plus connue sous le pseudonyme de Diglee, s’est toujours rêvée dessinatrice. Durant l’entretien, elle nous confie ses débuts alors même qu’elle est toujours étudiante. Si elle rencontre rapidement le succès dans la BD, elle explique pourquoi elle ne s’est jamais « sentie appartenir à ce monde ». Elle évoque aussi son militantisme féministe de plus en plus assumé au fil des années, ses role models, et les dictas féminins desquels elle a su s’émanciper. Elle partage aussi des bribes de son enfance, son amour pour la poésie, ses projets d’écriture et son rapport à la beauté.
Emmanuelle Amar, épidémiologiste
Son nom ne vous est peut-être pas familier, pourtant Emmanuelle Amar est connue dans la France entière pour avoir révélé au grand public l’affaire des enfants sans bras. Pas évident de faire face à cette soudaine notoriété accompagnée de critiques virulentes et pressions violentes, pour cette épidémiologiste dont le travail habituellement est voué « à rester dans l’ombre ». Emmanuelle retrace son parcours, son enfance joyeuse dans une famille nombreuse, la façon dont elle a mené de front reprise d’études et vie de famille, ses années d’expatriée… Jusqu’à son travail au sein du registre Remera et par là-même son combat de pour faire réagir les organismes de santé.
Amelia Tavella, architecte
Elle est l’une des rares femmes à la tête de son agence d’architecture et le machisme omniprésent dans cette profession ne l’impressionne nullement. Peut-être parce que rien ne l’effraie, d’ailleurs. Sur son île natale, la Corse, Amelia choisit les chantiers les plus ardus, les tâches les plus délicates, les « sites les plus sensibles » comme elle les décrit elle-même ; à l’image de couvents et citadelle réhabilités ou de créations d’équipements publics. Portée par son amour pour la Corse et la Méditerranée, Amelia raconte ses choix de carrière, la concurrence tout comme les responsabilités qui incombent à ce métier, mais aussi son enfance et ce qu’elle souhaite transmettre à ses filles.
Hélène Lafont-Couturier, directrice du musée des Confluences
Son CV donne le tournis. Jeune trentenaire, elle vient à peine de démarrer sa carrière, qu’elle saisit l’occasion de diriger un musée bordelais dont on lui confie aussi la création. Quand elle intervient au musée des Confluences, la tâche est complexe, le chantier entamé depuis déjà six ans. Une période difficile où le doute est interdit. Hélène se remémore aussi ses remises en question permanentes qui lui ont permis de saisir les opportunités qui se présentaient au cours de sa carrière.
Maïmouna Doucouré, réalisatrice
La petite Maïmouna rêve en silence de cinéma. Les récits habitent son enfance car elle visionne des tonnes de films de genre entourée de ses neuf frères et sœurs et sa grand-mère sénégalaise lui conte une foultitude d’histoires. Pourtant, comment réussir dans un milieu si concurrentiel et fermé ? En s’armant d’une grande dose de courage et de détermination mais aussi en faisant preuve d’authenticité. Maimouna nous raconte son enfance, ses débuts dans le cinéma et évoque sa volonté d’inciter à la réflexion avec des films forts, percutants qui s’attaquent à des sujets de société sensibles comme la polygamie et l’hypersexualisation des petites filles.
Ethery Pagava, danseuse étoile
La passion d’Ethery pour la danse est à l’image de sa dévotion pour cette discipline. A 88 ans, elle évoque pour nous ses débuts. Elle a 5 ans, quand elle est repérée par des professionnels qui décèlent immédiatement son talent et sa grâce… Une histoire, digne d’un conte de fées, jusqu’à son incroyable exploit : être devenue danseuse étoile à seulement 15 ans. Durant notre entretien, elle raconte l’importance de l’équilibre vie personnelle et professionnelle ainsi que la transmission de son art, notamment aux plus jeunes.
Laurence Revol, photographe
Passée experte en l’art de sublimer les femmes, Laurence évoque pour nous ses débuts – purement liés au hasard – dans la photographie, après avoir cofondé Epouse-moi cocotte avec une amie. Pêle-mêle, avec beaucoup de spontanéité et de franchise, elle nous raconte ses débuts en tant que directrice artistique, sa casquette d’entrepreneuse mais aussi de photographe, constamment attirée par d’autres formes d’expression.
Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Deux options sont possibles au moment du paiement, achat simple ou achat solidaire pour offrir un exemplaire à la Maison de la Soie.
34,00€
*REMISE EN MAIN PROPRE A LYON UNIQUEMENT*
Après notre collaboration sur la couverture du volume 3, Sara Ödman et moi n’avons pas pu en rester là (gourmandes que nous sommes). Il faut reconnaître que nous adorons ce que nous faisons et plus que tout le faire ensemble. Et puis, c’est vous qui nous avez glissé l’idée ! Alors merci de nous l’avoir réclamé 😉
Puisque vos désirs sont des ordres, voici l’affiche Sara Ödman X Soror, tirée de la couverture du volume 3.
Imprimée à Lyon en tirage limité à 250 exemplaires, notre affiche sera numérotée et signée rien que pour vous.
Pour retranscrire au plus juste les coups de pinceaux de l’artiste Sara Ödman et donner du relief et du caractère à l’affiche nous avons choisi avec minutie le papier : un papier à grain – mais pas trop – de 250 g/m2. Il permet d’obtenir une affiche lisse au rendu mat, tout en donnant l’illusion d’une peinture. L’impression n’a pas été laissée au hasard puisqu’elle a été réalisée en jet d’encre pour obtenir cette profondeur de coloris, chez un spécialiste de la coloration et de l’impression en petite série, à Lyon.
Ses dimensions, 320 x 450 mm correspondent à un format SRA3, autrement dit une affiche un peu plus grande qu’un format A3 (297 x 420mm). Résultat, encadrée ou pas, posée sur un buffet ou une cheminée ou trônant fièrement au-dessus du canapé avec des porte-baguettes, cette oeuvre « art print » habillera instantanément la pièce.
Pour le moment, seule la remise en main propre est possible, à Lyon dans le quatrième arrondissement. N’hésitez pas à nous écrire à soror.la.revue@gmail.com pour toute question.
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