Informations complémentaires
Poids | 562 g |
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Dimensions | 27 × 27 cm |
19,00€
Solenn Cosotti est journaliste. Elle a tout d’abord lancé son site, pensé comme une galerie de portraits au féminin, avec pour ambition de mettre en avant des Nantaises passionnées et inspirantes. Et, parce qu’il n’y avait pas d’équivalent dans sa région, naturellement l’idée d’une revue papier s’est imposée à elle. Ensemble, nous avons échangé sur nos métiers, nos envies de valoriser les femmes et de leur offrir un véritable espace de parole mais aussi sur l’auto-édition. Solenn m’a également proposé de participer au projet en réalisant l’enquête du premier numéro : Changer de métier pour mieux se réinventer.
Pour toutes ces raisons, je suis heureuse de vous proposer ici la revue Etonnantes. Pour encore plus de lectures de femmes, pleines d’optimisme et de force !
Etonnantes, en chiffres, c’est :
1 visuel de couverture qui laisse carte blanche à l’artiste Solenn Larnicol
160 pages réparties en 9 rubriques (Elle / Culturelles / Duelles / Confidentielles / Manuelles/ Actuelles / Étincelles / Sensorielles / Visuelle)
12 interviews et portraits de Nantaises (créatrice, entrepreneuses, réalisatrice, journaliste, etc.)
1 recette d’une cheffe nantaise
9 créations d’artistes nantaises réalisées spécialement pour Étonnantes
Mon conseil : hâtez-vous de découvrir cette très belle revue, avec une foule de contenus !
3 en stock
Poids | 562 g |
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Dimensions | 27 × 27 cm |
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19,00€
Le nouveau Etonnantes est une merveille ! Bravo Solenn Cosotti qui met tant de passion, de talent et de détermination dans son travail : valoriser les Nantaises.
J’ai eu la chance de rédiger un article dans ce second opus, mais je peux vous dire que ces 160 pages méritent qu’on se plonge dedans. Elles sont réparties à travers 7 grandes rubriques : Elle / Actuelles / Culturelles / Duelles / Naturelles / Aquarelles / Sensorielles
La couverture d’Étonnantes n°2 est une carte blanche confiée au duo d’illustratrices nantaises Mlle Jane Doe.
Désormais, vous pouvez donc commander sur Sororlarevue.com les deux volumes parus d’Etonnantes, ceux de Soror et hop, les glisser dans le même panier. On appelle cela un coup gagnant ! A vous les parcours de femmes d’exception, pour vous inspirer autant que vous évader.
20,00€ – 30,00€
O.S.E
Trois petites lettres, gravées et dorées à l’or fin, 24 carats, 2 microns.
Trois petites lettres pour réunir les univers de SIR Jane et de la revue Soror.
Trois petites lettres pour résumer les valeurs que nous souhaitons partager avec vous.
Nous même nous avons OSÉ l’impératif, car c’est le temps qui donne l’impulsion, le temps de l’audace et l’élan, celui aussi qui se veut encourageant et complice. OSE est une invitation. Une invitation à plus de fantaisie, plus d’assurance, plus de créativité, plus d’audace, plus de confiance, plus de courage. Et quoi de mieux qu’un bracelet, s’agitant à notre poignet, pour nous le rappeler tous les jours ?
O.S.E
Nous avons pris beaucoup de plaisir à penser ce bijou, en soignant chaque détail. Ainsi, ces médailles qui tintent joliment au poignet (on avoue, on adore ça) coulissent sur un fil rose gold lurex, élégant et féminin, qui reprend les codes de nos marques respectives. Résistant, vous pouvez le garder à votre poignet et vous avez même le droit de le garder pour dormir ou vous doucher !
O.S.E
Au cœur de ces trois petites lettres, le S est central. Il est l’initiale de nos marques – SIR Jane, Soror – mais aussi de la Sororité, qui nous rassemble toutes. Et pour accompagner ces trois petites lettres, la citation de Simone de Beauvoir est la phrase idéale.
Cette création faite à quatre mains, est proposée seule au prix de 20 euros ou à 30 euros, accompagnée du second volume de la revue Soror, avec ses portraits au long cours de femmes plurielles, agissantes et libres.
15,00€
Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Mais Soror, au-delà d’être une revue d’inspiration, est un projet à la forte dimension responsable. Lors de votre achat, vous pouvez sélectionner si vous le souhaitez « l’achat solidaire ». Pour cinq euros supplémentaires, vous offrirez ainsi un exemplaire à la Maison des Femmes de Saint-Denis qui oeuvre pour les femmes vulnérables, victimes de violence. C’est notre équipe qui se chargera de l’envoi en votre nom.
Pagination : 96 pages
Impression : locale en série limitée par l’imprimeur Chirat
Sommaire de Soror Volume 1 :
Lina Pieretti, vigneron
En Corse et plus précisément dans le Cap, Lina est la gérante de l’exploitation viticole Pieretti. En reprenant cette entreprise familiale depuis plusieurs siècles alors qu’elle ne s’y prédestinait pas, elle est devenue officiellement la première femme vigneron de l’île. A l’aube de ses soixante ans, elle se confie sur le fait d’évoluer dans un milieu professionnel que l’on ne choisit pas mais nous interroge aussi sur le déterminisme familial et l’importance de la transmission.
Florence Porcel, vulgarisatrice scientifique
YouTubeuse à succès, auteur, animatrice et comédienne… Florence cumule les casquettes sans perdre de vue ses passions et sans dévier de sa trajectoire. Elle se revendique féministe après avoir pris conscience de sa difficulté à assumer sa passion pour les sciences. Souffrant encore de discrimination malgré sa reconnaissance, elle raconte avec beaucoup de franchise les difficultés rencontrées durant son enfance, sa quête du métier parfait mais aussi son envie d’ailleurs.
Aline Sam-Giao, directrice générale de l’Orchestre national de Lyon et de l’Auditorium
Alors que les femmes sont largement minoritaires à ce type de fonction, cette maman de famille nombreuse a accédé à un poste convoité à seulement 40 ans. Avec elle, on parle de l’importance d’avancer étape par étape, de la nécessité de savoir ce que l’on veut vraiment et de la notion de réussite.
Jacqueline Duhême, illustratrice
Elle est tout simplement incroyable. Habitée par sa passion depuis toute petite pour le dessin, Jacqueline Duhême a connu et côtoyé des artistes comme Eluard, Prévert, Matisse ou Queneau, a fait carrière durant 20 ans dans le magazine Elle en inventant un nouveau genre, le reportage-illustré, avant de se réinventer en se formant à l’art difficile de la tapisserie. A 90 ans, elle continue de dessiner et la bibliothèque parisienne Forney lui consacrera une rétrospective début 2019. Elle nous raconte la naissance de sa vocation, son enfance et les illustres rencontres qui ont ponctué son existence.
Chrysoline de Gastines, co-fondatrice et directrice artistique de Balzac Paris
Pas toujours simple de poser un regard neuf sur une amie ! Pourtant, avec sa « bande de sœurs » qui pratique la sororité quotidiennement et sa très inspirante success-story à la tête de Balzac Paris, pour ce premier numéro, Chrysoline était une évidence. Avec elle, on s’interroge sur l’image que l’on renvoie aux autres, notamment par le biais des réseaux sociaux, édulcorée et forcément simpliste. Elle nous fait partager sa philosophie de vie, nous raconte son enfance au sein d’une famille nombreuse et nous explique que pour elle changer plusieurs fois de métier est une chance.
Judith Levy et Juliette Couturier, fondatrices de Même
Pour un entretien, je n’ai pas rencontré une mais deux femmes incroyables. A seulement 23 ans, elles ont eu l’idée de créer Même, entreprise unique en France de cosmétiques et des soins pour les femmes atteintes d’un cancer. Avec elles, on parle de résilience et du fait parvenir à faire quelque chose de positif, constructif, tourné vers les autres, dans les plus dures épreuves de la vie. On a parlé aussi d’amitié et de confiance car ces deux fondatrices partagent bien plus que le quotidien.
Hortense Montarnal, céramiste
A 40 ans, Hortense est une créatrice pleine de talent, emportée dans un tourbillon de succès. Pourtant, elle a longtemps eu du mal à trouver sa place. Elle se livre en toute franchise sur sa période d’errance dans le monde du travail, la pression ressentie et ses épisodes de dépression. Un joli exemple de late bloomer, que l’on peut traduire par floraison tardive.
Hindou Oumarou Ibrahim, fondatrice de l’association des Femmes peules autochtones du Tchad
A seulement 34 ans, Hindou est une femme forte, très engagée dans la lutte pour la protection de l’environnement. Née en Afrique, détentrice du Prix spécial Danielle Mitterrand France- Libertés 2017, elle sensibilise le monde lors de sommets internationaux sur l’urgence vitale des peuples nomades en survie. Elle nous raconte son enfance, la force de sa mère qui lui a permis d’être scolarisée, et ses combats quotidiens.
Faites vite connaissance avec nos 9 Soror !
15,00€ – 20,00€
Grande nouvelle : le troisième opus de Soror est disponible ! Sans publicité, le format de revue indépendante intègre forcément le souci du détail et de la qualité d’impression. Notre souhait : apporter une qualité de lecture en harmonie avec le contenu. Voilà pourquoi l’impression a été réalisée par l’imprimeur Chirat, basé en région Rhône-Alpes.
Sa couverture a été dessinée par l’illustratrice et peintre Sara Ödman. A travers ses illustrations et ses tableaux, elle dresse le portrait d’une femme aux formes généreuses, puissante et douce à la fois, altière, déterminée, affranchie de toute contrainte. Le regard tourné vers le mot « Soror », elle nous invite à prendre de la hauteur, mais aussi à accomplir nos rêves et à conserver coûte que coûte nos espoirs. Quant à la palette de coloris, franche mais délicate, allant du rouge profond au rose en passant par l’ocre, elle incarne parfaitement l’esprit et le parcours des huit Soror qui composent ce nouveau numéro : engagées, résolues, travailleuses et audacieuses.
Enfin, voici le sommaire de Soror, vol. 3 :
Julie Davico-Pahin, co-fondatrice de la start-up AgriTech Ombres
Pour Julie, âgée seulement de 24 ans au lancement de sa boîte, créer Ombrea était un « devoir ». Suite à un épisode de sécheresse, c’est en assistant, démunie, à la disparition de 25% des cultures de ses parents horticulteurs que lui vient l’idée d’un outil qui régule le climat : une ombrière intelligente. Sans expérience dans le domaine, Julie doit lutter contre le syndrome d’imposteur, renoncer à ses élans d’indépendance en s’associant à son père et se confronter à une levée de fonds dans un milieu profondément machiste. Elle évoque avec nous ses doutes, ses réussites et nous dévoile sans détour son ambition.
Diglee, illustratrice et écrivaine
Maureen Wingrove, plus connue sous le pseudonyme de Diglee, s’est toujours rêvée dessinatrice. Durant l’entretien, elle nous confie ses débuts alors même qu’elle est toujours étudiante. Si elle rencontre rapidement le succès dans la BD, elle explique pourquoi elle ne s’est jamais « sentie appartenir à ce monde ». Elle évoque aussi son militantisme féministe de plus en plus assumé au fil des années, ses role models, et les dictas féminins desquels elle a su s’émanciper. Elle partage aussi des bribes de son enfance, son amour pour la poésie, ses projets d’écriture et son rapport à la beauté.
Emmanuelle Amar, épidémiologiste
Son nom ne vous est peut-être pas familier, pourtant Emmanuelle Amar est connue dans la France entière pour avoir révélé au grand public l’affaire des enfants sans bras. Pas évident de faire face à cette soudaine notoriété accompagnée de critiques virulentes et pressions violentes, pour cette épidémiologiste dont le travail habituellement est voué « à rester dans l’ombre ». Emmanuelle retrace son parcours, son enfance joyeuse dans une famille nombreuse, la façon dont elle a mené de front reprise d’études et vie de famille, ses années d’expatriée… Jusqu’à son travail au sein du registre Remera et par là-même son combat de pour faire réagir les organismes de santé.
Amelia Tavella, architecte
Elle est l’une des rares femmes à la tête de son agence d’architecture et le machisme omniprésent dans cette profession ne l’impressionne nullement. Peut-être parce que rien ne l’effraie, d’ailleurs. Sur son île natale, la Corse, Amelia choisit les chantiers les plus ardus, les tâches les plus délicates, les « sites les plus sensibles » comme elle les décrit elle-même ; à l’image de couvents et citadelle réhabilités ou de créations d’équipements publics. Portée par son amour pour la Corse et la Méditerranée, Amelia raconte ses choix de carrière, la concurrence tout comme les responsabilités qui incombent à ce métier, mais aussi son enfance et ce qu’elle souhaite transmettre à ses filles.
Hélène Lafont-Couturier, directrice du musée des Confluences
Son CV donne le tournis. Jeune trentenaire, elle vient à peine de démarrer sa carrière, qu’elle saisit l’occasion de diriger un musée bordelais dont on lui confie aussi la création. Quand elle intervient au musée des Confluences, la tâche est complexe, le chantier entamé depuis déjà six ans. Une période difficile où le doute est interdit. Hélène se remémore aussi ses remises en question permanentes qui lui ont permis de saisir les opportunités qui se présentaient au cours de sa carrière.
Maïmouna Doucouré, réalisatrice
La petite Maïmouna rêve en silence de cinéma. Les récits habitent son enfance car elle visionne des tonnes de films de genre entourée de ses neuf frères et sœurs et sa grand-mère sénégalaise lui conte une foultitude d’histoires. Pourtant, comment réussir dans un milieu si concurrentiel et fermé ? En s’armant d’une grande dose de courage et de détermination mais aussi en faisant preuve d’authenticité. Maimouna nous raconte son enfance, ses débuts dans le cinéma et évoque sa volonté d’inciter à la réflexion avec des films forts, percutants qui s’attaquent à des sujets de société sensibles comme la polygamie et l’hypersexualisation des petites filles.
Ethery Pagava, danseuse étoile
La passion d’Ethery pour la danse est à l’image de sa dévotion pour cette discipline. A 88 ans, elle évoque pour nous ses débuts. Elle a 5 ans, quand elle est repérée par des professionnels qui décèlent immédiatement son talent et sa grâce… Une histoire, digne d’un conte de fées, jusqu’à son incroyable exploit : être devenue danseuse étoile à seulement 15 ans. Durant notre entretien, elle raconte l’importance de l’équilibre vie personnelle et professionnelle ainsi que la transmission de son art, notamment aux plus jeunes.
Laurence Revol, photographe
Passée experte en l’art de sublimer les femmes, Laurence évoque pour nous ses débuts – purement liés au hasard – dans la photographie, après avoir cofondé Epouse-moi cocotte avec une amie. Pêle-mêle, avec beaucoup de spontanéité et de franchise, elle nous raconte ses débuts en tant que directrice artistique, sa casquette d’entrepreneuse mais aussi de photographe, constamment attirée par d’autres formes d’expression.
Soror présente des femmes conquérantes, libres, des femmes en action. Des modèles oui, mais chacune à leur manière. A travers leurs histoires et leurs inspirants parcours de vie, elles nous apportent une bouffée de courage et d’optimisme. Chaque rencontre est retranscrite sur une dizaine de pages et se compose d’un portrait, d’un entretien et d’une rubrique Poursuivre. Le tout, ponctué de photos et d’une citation en exergue.
Deux options sont possibles au moment du paiement, achat simple ou achat solidaire pour offrir un exemplaire à la Maison de la Soie.
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